Publication : 2022
Genre : Romance, LGBTQIA+
Edition : Hachette
Nombre de pages : 424 pages
Note : 14/20
Quatrième de couverture
L’histoire d’Hana et Ro, c’est… une bagarre, un supermarché, beaucoup de spaghettis, une salle de bain écoeurante, un piano électronique et beaucoup trop de plantes.
C’est bordélique, maladroit, mais c’est aussi beau. Surtout, c’est évident. Ça l’est tellement qu’Hana pense que ça pourrait durer éternellement.
Et puis, le 31 août, Hana s’endort paisiblement au côté de Ro. Mais à son réveil, Ro n’est plus là.
Disparue, sans laisser de traces. Envolée, sans que personne se souvienne d’elle, sauf Hana. Comme si, au final, Ro n’avait tout simplement jamais existé.
Qui est vraiment Ro, cette jeune fille mystérieuse et pourtant pleine de vie ?
Mon avis
J’avais beaucoup entendu parler de ce livre sur les réseaux sociaux quand il était sorti. J’ai finalement trouvé ce roman sur les étagères de ma médiathèque et… tu connais la suite !
Six mois par an fait partie de ces romans qui se lisent facilement. L’histoire de Ro et Hana est particulièrement touchante et “coule de source” en quelque sorte. J’ai particulièrement apprécié le fait que la question des orientations sexuelles ne soient pas au centre de l’histoire. Ici, la question n’est pas là et cette normalisation fait chaud au cœur !
En ce qui concerne les éléments qui m’ont le moins plu, je dirais la dernière partie du roman… Je l’ai trouvé presque forcé, voir précipité. Si la relation entre les personnages est très belle et l’intrigue originale, l’ensemble perd sa cohérence sur certains moments… J’ai d’ailleurs eu beaucoup de mal avec l’intrigue secondaire à propos de l’addiction à la drogue. Je trouve que le sujet n’est pas abordé correctement, il aurait peut-être fallu prendre un peu plus de temps pour l’évoquer ou… ne pas l’évoquer du tout !
C’était une belle lecture, que je recommande plus à des jeunes lecteurs. Je pense que le fait d’être plus habituée à de la lecture contemporaine fait que je passe peut-être à côté de la beauté de ce texte…
Est-ce que tu l’as lu ? Qu’en as-tu pensé ?
L'autodidacte aux mille livres 
Je trouve ça bien aussi que l’orientation sexuelle ne soit pas mis au cœur même du récit, mais bel et bien comme n’importe quel acte de la vie courante. La normalisation c’est exactement ça, c’est en parler sans forcément grossir le trait et c’est bien aussi. Dommage par contre pour le message sur la drogue qui lui n’a pas été plus approfondie. Je ne pense pas que ce soit mon genre de lecture mais je te remercie pour cette chronique 🙂
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Rien ne vaut la normalisation pour les questions d’orientation sexuelle ! 🙂
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Je ne l’ai pas lu, mais c’est interessant. Vous avez dit que c’est facile a lire, alors je commence par essayer de lire le resume. Mais maintenant je prefere lire un roman dramatique.
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Dommage pour la fin mais ça a l’air d’un joli roman.
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